Ainsi, le christianisme nous ordonne de croire, qu’un dieu fait homme, a pu souffrir, mourir, a pu s’offrir en sacrifice à lui-même, ce que les chrétiens désignent par le mystère de la rédemption de Jesus pour souffrir dans son corps des soufflets, des coups de poing, des crachats, la flagellation la plus cruelle, le couronnement d’épines, et le crucifiement pour expier les péchés du monde entier..
Le christianisme nous présente plusieurs contrefaçons de la vérité, particulièrement chez les sectes qui prônent un autre Jésus; un autre Esprit; un autre Évangile; disent ils que du moment que l’Ancien et le Nouveau Testament déclarent expressément qu’il n’y a qu’un seul Seigneur, il est bien évident que le Seigneur Jésus du Nouveau Testament et le Seigneur Dieu de l’Ancien Testament sont un seul et même Seigneur. Soit un faux christianisme.
Ce n’est pas l’historicité de Jésus qui dérange mais son usage qui nous montre des notions absurdes empruntées à d’autres civilisations antérieures dont des risibles fables supposaient des dieux revêtus de la forme humaine,
Pour Le Nouvel Âge ont Jésus venu apporter la liberté de penser à tous. Un mystique qui détient une doctrine ésotérique voilée qui est réservée à l’élite de ses adeptes.
Le Jésus des gais: Comme si le monde n’avait pas assez de corruption en son sein, le mouvement gais met le comble à ses perversions en nous présentant un Jésus homosexuel dont son disciple Jean aurait été son bien-aimé.
Les Juifs nous présente un Jésus, enfant illégitime de Marie, un révolutionnaire qui n’est point le Fils de Dieu ni le Messie.
Les Mormons: se represnte en un Jésus fictif qui s’est rendu au Mexique après sa résurrection vers un peuple Juif imaginaire qui y aurait émigrer lors de la construction de la tour de Babel. Cette histoire, digne d’un conte de science fiction, proviendrait de tablettes en or donné par révélation à John Smith par l’ange Moroni. A son retour sur la terre, Jésus irait habiter dans le temple qu’ils ont construit à Salt Lake City dans le Utha aux États-unis.
Les Témoins de Jéhovah: ont un Jésus qui n’est qu’un petit dieu, créé avant toutes choses, et qui créa l’univers. Comme fils, Jésus n’est pas l’égal du Père mais lui est subordonné.
Les Catholiques Romains: ont une religion idolâtre qui n’est que la projection du Culte du dieu Soleil Mithra sous un accoutrement chrétien, c’est la pire perversion du christianisme.
L’Eglise Catholique enseigne que les croyants seront sauvés par grâce. Toutefois, la “grâce” du Catholicisme est une grâce très étrange.
Leur Jésus est offert tous les jours dans le sacrifice sur l'autel de la messe par un prêtre qui est son représentant.
Leur Jésus est gardé dans un coffret de bois sur l’hôtel et on le place dans une monture solaire nommée un ostensoir pour être adoré du peuple.
Le pape, chef suprême du Catholicisme, est présenté comme Vicaire de Christ, son représentant officiel, et comme Saint-Père ou Dieu sur la terre.
La Parole est Jésus, qui était lui-même le Père dans ce commencement et qui était revêtu lui-même du pouvoir et du rang de la Divinité, qu'il vint dans le monde et demeura parmi les hommes en se formant un corps de chair dans le sein d'une vierge.
Le Jésus des Protestants: On trouve chez eux un Jésus issu de l’orthodoxie du Concile de Nicée présenté comme deuxième personne d’une trinité ontologique subversive. Dans ce sens, c’est le même Jésus qui est à la source du Catholicisme.
Ce Jésus est placé en deuxième place d’importance par rapport au Père. Il est né deux fois, une fois dans l’éternité et une autre fois de la vierge Marie. Comme Fils il est dissocié du Père quoique d’une même substance. Ce Jésus est issu du Platonisme et de spéculation sur l’existence de Dieu présenté comme un dogme absolu qu’il est nécessaire de croire pour être sauvé.
Les Baptistes: Cette secte veut un Jésus fait à son image, un fourbe qui extorque ses membres et manipule les consciences et les circonstances. Leur faux Jésus est un immersionniste qui aurait brisé la loi des rituels de purifications qui se firent par aspersion et non par immersion. Ainsi leur Jésus est un pécheur et un faux Messie. Ce Jésus leur donne aussi le libre choix de croire et fait du salut une décision personnelle dans le but de valoriser la dignité de l’homme au-dessus de la Souveraineté de Dieu.
Le Jésus des Pentecôtistes est un Jésus enthousiasmé et secret, un Jésus qui les baptise de démons qui se font passer pour le Saint Esprit. Incorporant tous les caractéristiques des autres Jésus, le Jésus des Pentecôtistes les pousse à tomber en extase, à parler des langues de vipères, à rire follement jusqu’à perdre le contrôle, à tomber par terre et à écumer à la bouche, à sauter et à danser extatiquement, à pousser des cris et des hurlements, etc. Ce Jésus reviendrait établir son règne à Jérusalem pour une période de mille ans dans laquelle des saints et des réprouvés vivraient côte à côte, une rébellion finale détruisant le monde à la fin de ce règne mythique.
Le Jésus des Charismatiques: Ce Jésus est le même que celui des Pentecôtistes à l’exception qu’il est revêtu des caractéristiques du Jésus des Catholiques. C’est un Jésus œcuménique qui veut englober toutes les religions en une seule sous l’autorité du pape. Leur Jésus leur enseigne à adorer des statues et des images, à vénérer (adorer) Marie et les saints qui sont mort. C’est un Jésus bonace, un Père Noël qui récompense ses enfants, particulièrement ceux qui passent par sa mère pour éviter sa colère.
Comme le Jésus des Pentecôtistes, c’est un Jésus extrêmement dangereux qui pousse ses fidèles à toutes sortes d’expériences surnaturelles et diaboliques. Un Jésus qui fait pleurer des statues, qui produit des apparitions et des miracles chimériques.
Or nous avons aussi plusieurs autres Jésus. Un Jésus qui nous promet que la santé, la prospérité, la sagesse et la joie. Un Jésus qui garantit le ciel et ne dit rien de l'enfer. Un Jésus qui promet la vie éternelle mais qui ne dit rien de la justice. Un Jésus qui a besoin d'un supplément à son œuvre salvatrice, tel que nos mérites, nos cérémonies, nos sacrifices, nos choix, ou encore nos dons spirituels. Un Jésus qui vit encore mais qui est invisible en attendant son propre retour.
Conclusion, au lieu de nous prouver que le Christianisme est sans fondement, Les chrétiens auraient pu s’en tenir là. En effet on constate que dans le christianisme c'est du style : "Vous avez le choix de composer vous-même une croyance ?
Une véritable morale ne peut être conciliable avec une telle religion.