Starheater a écrit:Il n'y a pas de faits, comment veux-tu qu'il y ait des arguments. Écoute Stitten, tu sais tout comme moi que dans le temps de l'Apôtre Paul il y avait des gens qui écrivaient de fausses lettres:2 Thessaloniciens 2:2 ne vous laissez pas trop vite mettre hors de sens ni alarmer par des manifestations de l’Esprit, des paroles ou des lettres données comme venant de nous, et qui vous feraient penser que le Jour du Seigneur est déjà là.
Déjà à l'époque de Paul il existait de fausses lettres, mais Paul était loin d'être sans intelligence, ces lettres avaient un Signe Distinctif:
2 Thessaloniciens 3:17 Ce salut est de ma main, à moi Paul. C’est le signe qui distingue toutes mes lettres. Voici quelle est mon écriture.
Les Juifs de l'époque de Paul s'acharnaient pour le faire tomber, il due même une fois s'échappé par une fenêtre dans une corbeille (il, me semble que c'est une corbeille).
Tu ne connais pas la Justice Stitten, tu cache ton Coran sous ton manteau, cite-moi des passages afin que je puisse constater le Coran a ce qu'il faut pour être sage.
Starheater
Starheater Entre toi et moi, je trouve cette diversité n’est que naturelle. Toutes ces compétitions et tous ces combats ne sont que logiques qui découlent du comportement naturel de l’homme.
Nous autres musulmans devront avoir à l’esprit l’image du verre d’eau à moitié rempli, certains le perçoive comme à moitié plein se sont les optimistes, d’autre le perçoive comme à moitié vide ce sont les pessimistes et pourtant c’est le même verre. Je suis certain que vous et moi ne serions pas là entrain de se chamailler si nos religions respectives étaient à leur apogée de la compréhension mutuelle, hélas le monde musulman actuel est dans la disgrâce la plus totale sur tout les plans et dans tous les domaines; c’est peut être aussi pour cela que les musulmans ont cette colère pleine d’espoir pour sortir des ténèbres de l’ignorance et de l’obscurantisme dans toutes les sociétés musulmanes et je pense que moi un simple croyant musulman, qui ceci n’est pas une malédiction en-soi, ce n’est que le court de l’histoire à l’échelle de l’humain et il se trouve depuis longtemps déjà que le monde musulman est dans le creux de la vague.
Je crois que personne sur cette Terre ne peut juger proprement d'une situation sans faire des erreurs de jugements ou d'interprétations. A ce titre Je respecte largement les autres convictions religieuses. Bien que nous soyons de nord différent, il me semble à juste titre, que nous adorons un Dieu de la même manière sous des appellations différentes.
Non je ne cache pas le Coran sous mon manteau, mais seulement, j’ai toujours constaté que tu ne veux en aucun cas lire le Coran, je t’ai soumis toute une Sourate du Coran mais au lieu de comprendre le sens de cette sourate, tu n’as fait que retenir « Une goutte de sperme ». Tiens à propos de sagesse par exemple le Coran nous rapporte l’histoire réelle d’Elie, un prophète d’une grande sagesse. C'est ainsi que vivait en un pays appelé Baalbek, à l'ouest de Damas, un peuple, plongé dans l'égarement le plus absolu ; malfaisant, injuste, agressif, c'était un peuple en pleine perdition ! Voyant ces gens dans un tel état d’égarement Allah voulut leur envoyer un de Ses Messagers touchés par Sa grâce afin de leur apporter de la lumière et les sortir des ténèbres ...
Elie appelle à l'adoration d'Allah, dieu unique et à l'abandon de Bâal, l'idole. Cet élu de Dieu fut Elie, de la lignée d’Aaron comme l'évoque notre Seigneur :
«Elie était, certes, du nombre des Messagers. » (Coran 37.123)
Il fut envoyé à ce peuple qui se prosternait devant une idole nommée Bâal ; il la vénérait et faisait d'elle une divinité ! Elie s'adressa à eux avec beaucoup de douceur et de conviction :
«Quand il dit à son peuple : "Ne craignez-vous pas (Allah)? Invoquerez-vous Baal et délaisserez-vous le Meilleur des créateurs, Allah, votre Seigneur et le Seigneur de vos plus anciens ancêtres ?"» (Coran 37.124-126)
Les gens, entendant Elie, savaient très bien que leur prophète avait raison et qu'il disait vrai, mais ils se détournèrent de son appel et continuèrent à adorer leur idole comme si de rien n'était !
Elie ne ménagea ni son temps, ni ses efforts pour essayer de sauver son peuple. Il continua à prêcher sur les places publiques, les campagnes, sur les routes, de jour, de nuit. Le peuple persiste dans l’idolâtrie et menace Elie.