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Ce Forum représente ma propre croyance en ce que j'ai appris et vu lors de l'étude des Religions Je suis très reconnaissant pour l’enseignement colossale qui en résulte et que ce forum fournit maintenant et dans laquelle je crois vraiment, je partage la recherche d’une vérité cachée et oubliée de la Bible, dans l'Ancien Testament et le Nouveau Testament, et quelle est la vraie relation et connexion entre judaïsme, christianisme et islam ?
Pour être en mesure de voir comment ces réels faits solides sont les pièces manquantes qui rapprochent les croyances, qui nous concerne tous d’une manière ou d’une autre au quotidien et apportent des réponses aux questions que beaucoup d’entre nous posent.
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L’Islam demande t-il de tuer celui qui change de religion ?

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Salâh Ed-Dîn

Salâh Ed-Dîn

Sur L’apostasie en Islam que certain qualifié de la liberté de culte chez les musulmans, je m'efforcerais d'y réponde aux meilleurs de mes dispositions. Un sujet toujours d’actualité et qui le sera encore longtemps. Dans 1000 ans, ils accuseront encore et toujours l’islam !

Il est certain que le Coran considère l’apostasie comme un péché mais ne prescrit en aucun cas une punition corporelle explicitement. Selon le Coran, Allah peut pardonner tous les péchés à l'exception la non croyance  

Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Plus Miséricordieux
Ô gens, observez votre Seigneur, Celui qui vous a créés d'un être et a créé de cela son second, puis a propagé des deux beaucoup d'hommes et de femmes. Vous respecterez DIEU, par qui vous jurez, et respecterez les parents. DIEU veille sur vous. Sourate 4: 1 Al-Nisa  

Certes, Allah ne pardonne pas qu'on Lui donne des associés. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Quiconque donne des associés à Allah s'égare, très loin dans l'égarement. Sourate 4: 116 Al-Nisa   

Je voudrai rapporter les avis et orientations de certains théologiens musulmans bien versés dans les Sciences et Jurisprudence islamiques, sauf erreur de mon part, j’ai essayé d’en raccourcir au maximum ces notes et de ne citer que l’essentiel. 

Il serait utile de signaler les déclarations du cheikh Mohammed At-Thaahir ibn 'Aachour  pour dire :
"Et la sagesse qui réside dans le fait de tuer l'apostat - bien que l'on ne tue pas le mécréant - est que l'apostasie correspond à la sortie d'un individu ou d'un groupe du groupe de l'Islam, et en sortant de l'Islam après qu'il y soit entré, il appelle au fait que lorsqu'il est entré dans cette religion, il a trouvé qu'elle n'est pas bonne, et il a trouvé que ce sur quoi il était auparavant, est meilleur ; et cela correspond à des insinuations contre la religion et à un mépris de la religion, et il y a aussi en cela le fait d'ouvrir le chemin pour ceux qui veulent abandonner cette religion, et cela amène à la dissolution du groupe ; et si ceci n'avait pas été mis comme moyen de dissuasion, les gens n'auraient été dissuadés ; et nous ne trouvons rien qui soit un moyen de dissuasion comme le fait de s'attendre à la mort ; c'est la raison pour laquelle la mort est le châtiment de l'apostat afin que personne n'entre dans la religion qu'avec conviction, et afin que personne ne sorte de la religion après qu'elle y soit entrée ; et ceci ne fait pas partie de la contrainte en religion qui est niée [rejetée] par Sa parole (qu'Il soit exalté) :  {Nulle contrainte en religion !}, parce que la contrainte en religion correspond à contraindre les gens à sortir de leurs religions et d'entrer dans l'Islam, tandis que cela correspond à contraindre à rester dans l'Islam".

Je ne suis pas arrivé à trouver la version en langue Arabe de ces déclarations, toutefois je signale que ce vénéré Cheikh se conforme de prime abord  à :
L’avis d’ El Farouk Omar ibn al-Khattâb (qu'Allah lui fasse miséricorde) serait que le Prophète (SAW)  en disant :
« Quiconque change sa religion, tuez-le. », avait dit cela en sa qualité de dirigeant de la Communauté et de chef de l’Etat.
Cela signifierait que cette décision ferait partie des décrets du pouvoir exécutif, donc c’est un acte faisant partie de la politique légale.
Il ne s’agirait pas d’un avis juridique (fatwâ) ou d’un enseignement émanant de Dieu auquel la Communauté doit se soumettre en tout temps, en tout lieu et en toute situation.
Ainsi, l’exécution de l’apostat et de tous ceux qui changent leur religion reviendrait de droit au dirigeant. Elle fait partie de ses compétences et des attributions de son pouvoir. S’il prononce la peine de mort, celle-ci doit être exécutée. Sinon, elle ne l’est pas.

Cette possibilité est confortée par ce qu’ont dit les Hanafites et les Malékites au sujet du hadith :
«Quiconque a tué une personne, sa dépouille lui revient»

 Et ce qu’ont dit les Hanafites au sujet du hadith :
«Quiconque redonne vie à une terre morte, alors elle devient sa propriété »
 Livre Al-Qaradâwî  : Al-Khasâ’is Al-`Âmmah fî Al-Islâm (Caractéristiques générales de l’Islam), page 217).
C’est également l’opinion de Ibrâhîm An-Nakha`î ainsi que celle d’Ath-Thawrî qui a dit :
« C’est cette opinion que nous adoptons. » (Al-Musannaf, 10, tradition n° 18697). Il a également dit :
« [La peine de mort] doit être reportée tant qu’il y a un espoir de repentance. »  

Le Sheikh `Abd Al-Muta`âl As-Sa`îdî dit dans son livre Hurriyyat Al-Fikr fil-Islâm (La Liberté de pensée en Islam),
Après avoir énuméré les versets coraniques traitant de la question, et après avoir fait état de la tolérance que le Prophète (SAWS)  - affichait vis-à-vis des hypocrites :
«Si, après tout cela, on nous présente des hadiths n’ayant pas bénéficié d’une large transmission et qui indiquent que l’apostat doit être tuer, alors ou bien nous ne les acceptons pas  car les hadiths n’ayant pas bénéficié d’une large transmission ne sont pas considérés comme un argument valable au niveau des questions fondamentales touchant à la foi, tout en sachant que l’exécution de l’apostat pour avoir modifié ses croyances entre dans le cadre de ces questions fondamentales, non dans le cadre des questions secondaires -, ou bien nous considérons que ces hadiths concernent l’apostat qui entre en guerre contre les Musulmans. Les Musulmans étaient en effet, à l’époque du Prophète (SAWS), en état de guerre.
Celui qui apostasiait de l’Islam ne se contentait pas de rester chez lui: il rejoignait les ennemis de l’Islam et combattait dans leurs rangs. Ainsi, l’ordre donné par le Prophète (SAWS) d’exécuter ces apostats était dû non pas à leur apostasie mais bel et bien à leur entrée en guerre contre les Musulmans.
Ceci est corroboré par le fait que le Prophète (SAWS)  n’ordonna pas d’exécuter les hypocrites qui apostasièrent pourtant de l’Islam. En effet, ceux-là ne prirent pas part au combat contre les Musulmans. Bien au contraire, il leur arrivait parfois de combattre à leurs côtés.
En outre, on ne peut pas dire que le Prophète (SAWS) n’était pas au courant de leur apostasie, car il connaissait parfaitement l’hypocrisie d’un grand nombre d’entre eux.
On en déduit alors que la distinction entre les apostats opérée par le Prophète (SAWS) s’explique par leur participation ou non au combat contre les Musulmans.
Celui qui porte les armes après avoir apostasié doit être tuer. Celui qui ne porte pas les armes n’est ni combattu ni tué. Nous pensons que cet avis est celui qui concilie au mieux les divergences des juristes sur cette question

Al-Qaradâwî : dans son livre « Le danger de l’apostasie... et la lutte contre la zizanie, précise : 
L’Islam ne contraint personne à l’embrasser, ni à sortir d’une religion pour se convertir à une autre religion. Car la foi prise en compte est celle qui découle d’un choix délibéré et d’une conviction. Dieu — Exalté soit-Il — dit dans le Coran mecquois :
«Est- ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (Sourate 10-99, Yûnus,).
 
Il dit également dans le Coran :
«Nulle contrainte en religion! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. » (Sourate 2 256, Al-Baqarah).
 
Néanmoins, l’Islam n’accepte pas que la religion soit un jeu dans lequel chacun y entrerait aujourd’hui comme il lui plaît et en sortirait demain comme il lui plaît, ainsi que l’ont fait certains Juifs qui disaient :
 
«‹Au début du jour, croyez à ce qui a été révélé aux Musulmans, mais, à la fin du jour, rejetez-le, afin qu’ils retournent (à leur ancienne religion).» (Sourate 3 72, Âl Imrân,).

L’Islam ne condamne pas à la peine capitale l’apostat qui ne professe pas son apostasie ou qui n’y invite pas les autres. Il considère que son châtiment est laissé à Dieu le Jour du Jugement dernier, si du moins il meurt mécréant.

Le Très Haut dit en effet :
«Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement. »
(Sourate 2  217, Al-Baqarah).

Au pire, l’Islam punira un tel apostat par une peine discrétionnaire adaptée.
Le laxisme dans la sanction de l’apostat déclaré, qui s’active à la propagation de l’apostasie, met en péril la société dans son ensemble, et ouvre la porte à une zizanie dont seul Dieu — Exalté soit-Il — connaît les conséquences.

Un tel apostat pourrait alors tromper les gens, en particulier les plus faibles et les plus démunis d’entre eux ; il pourrait alors se former une organisation hostile à la Communauté, qui se permettrait de recourir à l’aide des ennemis de celle-ci pour la combattre. Ainsi, la Communauté tomberait dans une lutte et un déchirement intellectuel, social et politique, qui pourrait tourner à une lutte sanglante, voire à une guerre civile qui emporterait tout sur son passage

Dans sa conclusion, le Cheikh Al-Qaradâwî  maintient que ;

Il s’agit de « l’apostasie intellectuelle », qui nous montre quotidiennement ses méfaits, à travers des journaux publiés, des livres édités, des revues commercialisées, des débats diffusés, des émissions regardées, des coutumes mises à la une et des lois adoptées.

Cette apostasie enveloppée est, à mon sens, plus dangereuse que l’apostasie déclarée, car elle œuvre continuellement, et sur une grande échelle. Par ailleurs, elle n’est pas combattue comme l’apostasie expresse, qui crée tout un tumulte, qui attire les regards et qui excite les foules.

L’hypocrisie est bien plus dangereuse que la mécréance explicite. Ainsi, l’hypocrisie de `Abd Allâh Ibn Ubayy et de ses acolytes parmi les hypocrites de Médine était plus dangereuse pour l’Islam que la mécréance de Abû Jahl et de ses acolytes parmi les idolâtres de la Mecque. C’est pour cette raison que le Coran dénigre au début de la sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, « ceux qui ont mécru » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 6) — c’est-à-dire ceux qui ont expressément fait acte de leur mécréance — deux fois seulement, alors qu’il mentionne les hypocrites dans treize versets.

C’est cette apostasie qui se réveille avec nous le matin et qui se couche avec nous la nuit, qui se montre à nous, un coup par-ci, un coup par-là, ne trouvant personne pour lui opposer résistance. Comme l’a dit le Sheikh de l’Islam An-Nadwî :
« Une apostasie, mais point de Abû Bakr pour lui faire face ! »

Le devoir impérieux à ce niveau est de combattre ce type d’apostats par leurs propres armes : la pensée par la pensée, jusqu’à leur faire jouer toutes leurs cartes, leur faire tomber leurs masques et répondre à toutes les équivoques qu’ils soulèvent, par des arguments irréfutables.

Il est vrai qu’ils sont dotés des plus grandes tribunes dans la presse et dans les médias audio-visuels. Néanmoins, la puissance de la vérité est de notre côté, le crédit de la foi remplit les cœurs de nos peuples, le soutien de Dieu — Exalté soit-Il — est avec nous.

Tout cela est digne de détruire leurs tromperies sur leurs têtes :
« Bien au contraire, Nous lançons contre le faux la vérité qui le subjugue, et le voilà qui disparaît. » (Sourate 21 18, Al-Ambiyâ’) ;
« Ainsi l’écume s’en va, au rebut, tandis que [l’eau et les éléments] utiles aux hommes demeurent dans la terre. » (Sourate 13 17, Ar-Ra`d,).
Et Dieu est le plus Véridique, conclus le Cheikh.
 
Pr Jamâl Al-Bannâ: dans son livre « Pas de sanction pour l’apostasie... La liberté de conscience est le fondement de l’Islam »

La foi doit être en effet fondée sur la liberté individuelle et sur la sérénité du cœur. Nos arguments sont les suivants :

1. Le Noble Coran mentionne l’apostasie de manière explicite dans plus d’un verset, sans pour autant y fixer une sanction terrestre. Et s’il le voulait, il l’aurait fait.

2. Le Noble Coran montre - de manière indubitable, dans des centaines de versets, par rapport à toutes les dimensions de la question de la foi - que la source première et le fondement de cette foi est le cœur et la volonté. Il affirme que même les Prophètes n’ont pas à contraindre les gens à la foi, qu’il n’y a nulle contrainte en religion et que croie qui veut et mécroie qui veut.
3. Lorsque le Noble Coran entérine la liberté de conscience, il ne fait en réalité qu’entériner un principe fondamental, inéluctable d’après la nature même des choses, d’après les principes généraux de la vie, et d’après ce que dicte la raison et la logique. Si le Coran n’avait pas entériné ce principe, ce dernier se serait imposé de lui-même sur la société par pur souci d’objectivité. Du fait que ce principe constitue l’une des règles que Dieu - Exalté soit-Il - a posées pour l’établissement de sociétés humaines, les législations célestes n’étaient pas venues le contredire ; bien au contraire, elles étaient venues l’entériner.
4. On n’a pas rapporté que le Prophète - paix et bénédiction sur lui - a tué un apostat uniquement pour son apostasie, malgré le nombre conséquent d’hypocrites qui avaient renié l’Islam après y avoir cru.
5. Nous ne rejetons pas un hadith simplement parce qu’il n’a pas bénéficié d’une large transmission. Nous respectons et nous nous inclinons devant tout hadith reconnu pour son authenticité. Néanmoins, afin de l’appliquer en tant que principe général, il nous faut être extrêmement prudents, il faut saisir toutes les circonstances de ce hadith et nous devons nous assurer qu’il a été rapporté à la lettre près, et non uniquement d’après son sens. Nous ne pouvons nous permettre de verser le sang ou d’entraver les libertés alors qu’il existe une probabilité non nulle que le hadith a été rapporté d’après son sens. Adopter une telle méthodologie dans la narration du hadith peut en effet altérer ce dernier
En outre, il nous faut analyser toutes les circonstances au cours desquelles le hadith fut prononcé, ce qui nous permettra de savoir s’il s’agit d’une directive particulière ou d’une directive générale. Tous ces doutes ne sauraient être négligés, et il suffirait de bien moins que cela pour ne pas appliquer une sanction pénale prévue par le Coran sur un individu donné. Comment pourrions-nous alors accepter un principe général qui s’appliquerait sur tous avec la présence de doutes aussi forts ?

6. L’idée de l’apostasie s’accompagnait, au temps du Prophète  (SAWS) de l’inimitié envers l’Islam et de la guerre contre lui. Celui qui croyait s’activait à le défendre et celui qui apostasiait s’activait à le combattre, en rejoignant les idolâtres, comme cela fut le cas par exemple de `Abd Allâh Ibn Sa`d Ibn Abî Sarh. Ce dernier s’était en effet converti à l’Islam, puis avait apostasié. Il se mit alors à rassembler la tribu de Quraysh contre le Prophète (SAWS). Le Prophète le condamna à mort par contumace. Lors de la conquête de la Mecque, l’apostat se réfugia chez `Uthmân Ibn `Affân, qui était son frère de lait. `Uthmân le couvrit chez lui jusqu’à ce que les choses se calmassent à la Mecque, après quoi il l’amena devant le Prophète (SAWS), lui demandant de lui octroyer sa protection. Le Messager de Dieu (SAWS) se tut alors pendant un long moment, avant de lui octroyer sa protection. L’apostat finit par se reconvertir à l’Islam.

Il fonde la foi et la croyance sur la liberté de choix la plus totale, exprimée par le passage coranique suivant :
 
« Quiconque le veut, qu’il croie, et quiconque le veut qu’il mécroie. » (Sourate 18 29, Al-Kahf)  

La situation diffère selon les pays   
Dans certains pays plus libérales, les Oulémas refusent les punitions terrestres pour les cas d’apostasie, mais suggèrent des sanctions administrations et financières, et demandent le prolongement de ces sanctions également contre  les personnes qui ne font pas la prière ou le jeûne du mois du Ramadan. (Cas de l’Algérie et la Tunisie)

En Algérie : la loi du 21 mars 2006 condamne à une peine d'emprisonnement de 2 à 5 ans ceux qui tente d'amener un musulman à quitter sa religion. La même sanction est prévue pour ceux qui diffusent des publications ou autres choses qui déstabilisent l'attachement à l'islam.

(Il y a eu précisément à Oran, de nombreuses distributions de Vidéo évangéliques dans des Mosquées).

Tout récemment un écrivain algérien Rachid Boudjedra     se dit athée et ne pas croire en Dieu ni en Mohamed (SAW)  comme prophète, Ce dernier a déclaré, au cours d’une émission télé, ne pas croire en Dieu, être pour la liberté de se dénuder, a juré sur le nom de sa mère, n’être jamais allé à un cimetière pas même lors de l’enterrement de cette dernière… !
La seule revendication retenue contre lui de la part des Les oulémas algériens qui suggèrent qu’à sa mort, M. Boudjedra n’aura pas droit aux rituels islamiques classiques

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